Dans les articles consacrés à Pascal Schmutz, les mêmes adjectifs reviennent souvent. On dit de lui qu’il est jeune et dynamique. Innovant et vif. Et dès la première rencontre avec lui, on s’aperçoit immédiatement que ces qualificatifs sont totalement fondés. «Dois-je monter sur le toit? Ça ferait une photo sympa», demande-t-il par exemple plein d’enthousiasme lors de la séance photo, avant de grimper sans plus attendre sur sa Volvo XC90.
Il est évident que le jeune homme de 36 ans ne pose pas pour la première fois pour un article. Par ailleurs, ce natif du Seeland semble avoir de la repartie et être bien dans sa peau. Rapidement, au cours de notre conversation, il apparaît clairement qu’il connaît la musique. Sans qu’on lui demande quoi que ce soit, il parle des avantages de sa voiture. Il affirme se sentir «bien et très en sécurité» à bord de la Volvo XC90 et que c’est important pour lui. «Lorsque je me rends de Saas-Fee à Zurich et que, le lendemain matin à six heures, je repars pour Verbier, j’ai besoin d’une voiture fiable, que j’aime conduire. Au volant de la Volvo XC90, ça ne m’ennuie jamais de prendre la route. Et c’est quelqu’un qui se déplace énormément qui vous le dit.»
Il affirme donc pleinement qu’il vit une romance avec cette voiture. Que ce soit lorsqu’il va chercher quelques meules de fromage chez un producteur et qu’il est content qu’il y ait autant d’espace à bord. Ou lorsqu’il franchit des cols la nuit et que, soudain, un cerf – non, pas un élan – se tient au milieu de la route. En outre, ce modèle réussit à faire le grand écart: «Lorsque j’arrive en tant que chef d’un restaurant 5 étoiles au volant de la Volvo XC90, je présente bien. Mais c’est tout aussi vrai lorsque j’entre dans la cour d’une ferme d’un agriculteur bio. Cette voiture est raffinée sans être tape-à-l’œil. Fonctionnelle, tout en étant élégante. Je suis très satisfait.»